DU 06 AU 08 SEPTEMBRE 2024

Développement durable

Le cyclisme : l’archétype même du sport et du moyen de transport « Vert » par excellence

Depuis plusieurs années déjà, le Tour de Roman­die s’en­gage en faveur du déve­lop­pe­ment durable.

Le cyclisme béné­fi­cie déjà dans l’opi­nion publique d’une image « verte » et repré­sente l’ar­ché­type même du sport et du moyen de trans­port « éco­lo­gique » par excel­lence.

Ce n’est pas seule­ment pour suivre la ten­dance actuelle ou répondre aux demandes et aux exi­gences des spon­sors, des villes-étape, des can­tons, de l’UCI ou du CIO (qui veille à ap­pli­quer les prin­cipes de dura­bi­lité tout au long des pro­jets olym­piques), que le Tour de Romandie s’investit dans ce domaine, mais bien parce que le res­pect des prin­cipes de dura­bi­lité est un devoir uni­ver­sel, de sur­croit pour le plus impor­tant évé­ne­ment spor­tif de Suisse romande.

Dès 2009, avec notamment une étude réalisée par l’AISTS (Aca­dé­mie Inter­na­tio­nale des Sciences et Tech­niques du Sport), le Tour de Romandie a mis en place différentes mesures afin de planifier et développer son travail dans le domaine du développement durable.

L’accent a été mis sur la gestion des déchets et le développement des transports dans un premier temps.

Pour la gestion des déchets, les objectifs principaux ont été de :

• Réduire la production de déchets ;

• Récupérer et trier de manière sélective les déchets ;

• Renforcer l’éducation et la sensibilisation à la gestion des déchets.

• C’est en impliquant les différents acteurs (villes-étape, services de la voirie, partenaires et sponsors), en organisant des zones pour le tri sélectif des    déchets et en mettant en place une campagne d’éducation que les objectifs ont pu être atteints.

Pour le développement des transports, les objectifs principaux ont été de :

• Promouvoir la mobilité douce, le co-voiturage et les transports publics ;

• Minimiser le trafic et remédier aux problèmes de parcage ;

• Réduire l’impact négatif des transports sur l’environnement (CO2) ;

• Renforcer l’éducation et la sensibilisation quant à la mobilité et à la santé.

• C’est en incitant le public à se déplacer à vélo ou en transports publics, en donnant l’opportunité à des associations actives dans le domaine à se
   faire connaître, en impliquant les clubs locaux pour la mise en place de mesures concrètes (organiser un parc à vélo sécurisé) ou encore en insistant
   sur les effets bénéfiques de l’exercice physique sur la santé et le bien-être que les objectifs ont été atteints.

Les aspects envi­ron­ne­men­taux (dimi­nu­tion de l’impact éco­lo­gique des déchets et des transports), sociaux (pro­mo­tion de la santé, inté­gra­tion des com­mu­nautés locales, etc.) et éco­no­miques (inté­gra­tion des entre­prises de trans­ports publics locaux, dimi­nu­tion des coûts, pro­mo­tion éco­no­mique et tou­ris­tique, etc.) sont entièrement consi­dé­rés au tra­vers de ces deux ini­tia­tives.

Le Tour de Romandie veille constamment à développer davantage d’actions afin que les principes du développement durable soient appliqués et développés dans le cadre de son évènement.

La Fondation du Tour de Romandie fait dorénavant partie de la charte de l’UCI en faveur du climat.